Le 8 mars, jour symbolique de la lutte pour les droits des femmes à travers le monde, le personnel féminin de l’Université de Kinshasa a écrit une page mémorable en organisant une marche pacifique en soutien à leurs sœurs et frères de l’Est de la République Démocratique du Congo, une région déchirée par les atrocités de la guerre depuis trop longtemps.
Sous un soleil radieux, un cortège vibrant de solidarité et d’espoir s’est formé dans la cour de cet Alma mater. Des enseignantes, des chercheuses, des administratives, toutes unies dans un même élan de paix et de justice, ont brandi des banderoles appelant à la fin des violences et à la protection des droits fondamentaux des femmes dans les zones de conflit.
La coordonnatrice de cet événement, la Professeure Gisèle THOA, a souligné l’importance de l’éducation et de la solidarité pour construire un avenir meilleur pour toutes les femmes congolaises. Elle a encouragé la mobilisation continue en faveur de la paix, de la justice et de l’égalité des genres.
Cette marche historique a résonné bien au-delà des murs de l’Université. Elle a rappelé à tous que la voix des femmes est puissante et unie, et qu’en s’unissant, elles peuvent briser les chaînes de l’oppression et de la violence.
En cette journée mémorable, le personnel féminin de l’Université de Kinshasa a montré au monde entier que la solidarité et la détermination sont les piliers sur lesquels se construit un avenir de paix et de respect des droits fondamentaux pour toutes et tous.