Elle vise à sensibiliser sur son expertise et s’approcher encore plus de ses soutiens et partenaires.
Elle souhaite particulièrement :
1. Que le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, s’approprie les résultats obtenus par le Laboratoire de Biologie Moléculaire de la Faculté de Médecine (LBMFM) de l’université de Kinshasa, entre autres, que LA SURVEILLANCE DES MARQUEURS MOLÉCULAIRES DE LA RÉSISTANCE DU PALUDISME soit un autre pillier de la lutte contre le Paludisme, à côté de la Prévention, du diagnostic et de la thérapie ;
2. Que bailleurs de fonds bi et multilatéraux appuient le LBMFM, la Faculté de Médecine et l’Université de Kinshasa dans leur contribution à la lutte contre le Paludisme. En effet, le LBMFM dispose de l’expertise et de l’outil en relation avec la Biologie Moléculaire ; il n’est plus nécessaire d’envoyer des échantillons à l’extérieur du pays pour le diagnostic, la recherche ou le suivi thérapeutique des pathologies. Le LBMFM peut le faire localement.
Le Secrétariat Général chargé de la Recherche/Université de Kinshasa