Le Département de Médecine Tropicale de l’Université de Kinshasa a fièrement participé à la quatrième assemblée générale du consortium VERDI à Tallinn (en Estonie). Ce consortium, regroupant 38 centres d’excellence à travers le monde, met en avant les femmes enceintes, les enfants et les populations à haut risque dans ses recherches sur les nouvelles variantes préoccupantes du SARS-CoV-2. Il se concentre également sur la préparation aux futures épidémies, en s’appuyant sur les expériences du COVID-19 et de Mpox.
Pourquoi ce projet
Depuis le début de la pandémie du SRAS-CoV-2 en 2019, de nouveaux « variants préoccupants » ont continué à apparaître, et leur impact potentiel sur les femmes enceintes et les enfants n’est pas bien compris. De plus, l’épidémie actuelle de mpox reste imprévisible et il est crucial de surveiller ses effets et de préparer des mesures d’atténuation, à la fois dans les groupes actuellement à haut risque et dans d’autres groupes qui pourraient être plus touchés à l’avenir.
L’expérience du COVID-19 et du mpox a mis en évidence la nécessité de faciliter une réponse rapide de la recherche aux épidémies de maladies infectieuses, afin que des études puissent être lancées rapidement pour identifier les groupes de population les plus à risque, ainsi que des traitements et des stratégies de prévention efficaces, sans nécessité inutile. duplication des efforts.