Supervision de lancement des travaux d’urgence pour sauver le Plateau des Professeurs de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) par les Ministres John Banza Lunda (Infrastructures) et Professeure Marie-Thérèse Sombo (ESU/RSI)
2025-12-02 14:15Supervision de lancement des travaux d’urgence pour sauver le Plateau des Professeurs de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) par les Ministres John Banza Lunda (Infrastructures) et Professeure Marie-Thérèse Sombo (ESU/RSI)
Supervision de lancement des travaux d’urgence pour sauver le Plateau des Professeurs de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) par les Ministres John Banza Lunda (Infrastructures) et Professeure Marie-Thérèse Sombo (ESU/RSI)
Accompagnés par Monsieur le Secrétaire Général Académique, le Professeur Odiko Lokangaka Charles, en date du 19 novembre 2025, les Ministres John Banza Lunda (Infrastructures) et Professeure Marie-Thérèse Sombo (ESU/RSI) ont supervisé le lancement des travaux d’urgence pour sauver le Plateau des Professeurs de l’Université de Kinshasa (UNIKIN), gravement menacé par une érosion galopante et par la dégradation avancée de la voirie, qui risquaient d’entraîner sa disparition. Les travaux sont exécutés par l’entreprise chinoise Poly Changda, sous la supervision de l’ACGT. Le Ministre Banza Lunda a souligné la réactivité du Gouvernement, sous l’impulsion du Président Félix Tshisekedi, suite à l’alerte lancée par Monsieur le Recteur Jean Marie Kayembe et la communauté universitaire concernant la « rupture progressive de la route périphérique ».
L’ACGT a présenté un plan d’intervention structuré en deux phases, pour une durée maximale de six mois :
Phase d’urgence (Sauvetage)
- Évacuation temporaire des familles exposées ;
- Stabilisation immédiate des têtes d’érosion ;
- Réhabilitation du système d’évacuation des eaux.
Phase de modernisation (Durable)
- Réhabilitation et asphaltage de 3 km de la ceinture routière ;
- Construction de nouveaux caniveaux ;
- Consolidation du collecteur principal et du bassin de rétention.
Enfin, les Ministres ont fermement condamné les constructions anarchiques, jugées responsables de l’aggravation de la situation. Un comité interministériel sera mis en place pour statuer sur la démolition systématique des bâtisses illégales, rappelant que « celui qui doit payer le prix, c’est celui qui a bâti sans autorisation ».
