Présenté par Antoine Nkuba Ndaye
Sour la direction de Martine Peeters et de Steve Ahuka Mundeke
RESUME
La frequence des épidémies de la maladies à virus Ebola est de plus en plus élévée depuis 2017 avec comme conséquence l’augmentation du nombre des survivants connus et traités par des molécules spécifiques et d’autres non identifiés par des équipes de risposte dans un contexte d’émergnce de nouveaux virus tel que le SARS-CoV-2.
Nous avons démontré ques des personnes déchargées après deux tests RT-PCR pourraient être des patients Ebola ayant présenté une forme pauci-symptomatique et qui se sont présenté après la phase virémique.
Nous avons aussi démontré que la production des anticorps anti-Ebola chez des persinnes traitées avec des molécules anti-Ebola semble être tardive et les taux d’anticorps déclinent très rapidement au fil du temps. Contrairement aux rapports officiels sur le nombre de cas confirmés de COVID-19 en RDC, nous avonc rapporté une diffusion très grande du SARS-CoV-2 à Kinshasa après la première vague de la pandémie.
Ces travaux réalisé dans le cadre des études sur les émergences montrent d’une part l’importance de la sérologie dans la compréhension de l’évolution des maladies émergentes nouvellement identifiées ou anciennement connues et d’autres part, l’importance de continuer des études chez des survianvats de la maladie à virus Ebola pour prévenir des cas de relapse qui peuvent être des facteurs d’émergence potentiels.
Mot-clés : Ebola virus, SARS-CoV-2, Anticorps, traitement EBOV, RDC.
DISCIPLINE : Microbiologie, Maladie Transmissibles et Hygiène
LABORATOIRE : Transitions épidémiologiques, recherche translationnelles appliquée au VIH et aux maladies infectieuses, TransVIHMI, IRD/Université de Montpellier.
911 Avenue Agropolis, BP 64501, 34394 Montpellier, Cedex 5, France